D'un design compact, 4,36 m, on l'a déjà dit, la GTC Paris dévoile la seconde vague du changement identitaire de la marque. Autant l'Insignia a perturbé la
donne dans le segment supérieur, autant la GTC, qui est une sacrée "locomotive", confirme le fait que Opel ne veut plus être un simple spectateur ou acteur passif du marché.
Il va à l'assaut et pour se faire, les motoristes ont glissé sous le capot de GTC un moteur 2 litres essence de 213 kW, soit pour les traditionalistes 290 ch. Une référence plus que brillante à mettre au profit d’un arsenal technique comprenant une distribution variable sur les deux arbres à cames et deux arbres d’équilibrage. Malgré toute cette puissance, le souci environnemental n’est pas oublié : le système Start/Stop permet de juguler les émissions et le bruit dans la circulation urbaine. Le GTC Paris peut ainsi rester économe sans perdre son caractère sportif.
Va y avoir du sport dans la maison au "blitz" (éclair) puisque GTC reçoit une boîte à 6 rapports, un différentiel à glissement limité car toute cette puissance ne passe, à l'instar de la Ford Focus RS, uniquement par les roues avant.
Le châssis n'est pas en reste puisque si la caisse repose sur des roues de 21 pouces, GTC reçoit également la nouvelle version de la suspension mécatronique adaptative FlexRide qui s’adapte en continu aux variations de style de conduite et de vitesse de passage en virage. Elle est donc bénéfique au niveau ludique, mais aussi sécurité.
L'ambiance de l'habitacle est toute dévouée au sport. Surpiqûres du cuir deux tons, sièges sport, volant itou, pédalier
alu... Bref, le gang des "tractions" est prêt à en découdre ! (source Opel)