Afin de désengorger les villes, les responsables politiques de celles-ci commencent à réagir par la répression sous le couvert d'une limitation de la vitesse en certaines zones à 30 km/h, en limitant les places de parking ou en instaurant une fiscalité spécifique. Bref, il faut d'une manière ou d'une autre trouver une, voire des solutions.
Tout récemment, pour une revue professionnelle belge, AIC donnait son point de vue sur le futur de la mobilité urbaine. En résumé de saluer les efforts des constructeurs qui, en parallèle de leur production automobile, avançaient de nouveaux moyens sous la forme de voiturette, de scooter ou de vélo, tous étant dès la base en mode électrique et ce afin de se déplacer en centre ville et/ou en périphérie.
Toyota s'est lancé dans une autre genre avec le Winglet. La ressemblance avec tout moyen de locomotion n'est que fortuite, mais de savoir que le constructeur se lance dans sa période de test grandeur nature avec 8 de ceux-ci. Avec une heure d'autonomie et 4 km d'autonomie, il est évident qu'il concerne en tout premier lieu le citadin. Mais placé dans le coffre de sa voiture, pour peu que l'on puisse le replier, il est aussi une alternative et de révéler sa complémentarité au provincial qui travaille dans une grande ville.
La période d'essais se déroule du 24 juillet 2013 au 31 mars 2014 et a pour théâtre la zone expérimentale de transports robotisés de Tsukuba. Environ 80 personnes au total, collaborateurs du National Institute of Advanced Industrial Science and Technology et employés municipaux de cette ville, utiliseront le Winglet en condition réelle. (source / vidéo Toyota)