Nouveauté
Elle sera la vedette du prochain Mondial de l'auto à Paris, mais la California est aussi un évènement encore plus important que lors de la sortie d'une nouvelle Ferrari.
Tout d'abord, beaucoup attendait la "149", la nouvelle berlinette du cheval cabré. Ensuite, si nouvelle il devait y avoir, on s'attendait également à retrouver une architecture... classique à savoir, moteur arrière. Il n'en est rien et Ferrari prend même tout le monde, client y compris, à contre-pied.
La California est donc le coupé-cabriolet de la marque. Finie la capote et à l'heure du progrès, Ferrari suit le mouvement. Ce qu'elle suit également de par son nom qui nous revient d'un modèle ainsi dénommé et produit de 1957 à 1962. Par contre, la California étonne de par son architecture moteur. Partageant ses gênes mécaniques avec la F430, elle inverse la tendance et renvoie le tout à l'avant. Ainsi la California est équipée du 4,3 litres V8, aussi une première car seul le V12 avait aussi pris place à l'avant, et développe 460 ch. La transmission se fait toujours aux roues arrière via une boîte à double embrayage et 7 rapports.
On en saura de plus en plus d'ici le mois de septembre, mais on peut déjà se dire que la California marque un tournant dans la politique commerciale de Ferrari. La redéfinition technique, moteur avant et boîte à double embrayage, prouve que la nouvelle génération de la marque se voudra plus "people", conventionelle et douce. Certes, il y aura toujours, et heureusment, les modèles exclusifs, mais la marque italienne ne va pas vivre sur ses laurriers. C'est pourquoi le choix d'un toit rigide va dans le même sens.
La California est le messager de Ferrari différentes. En avant toute !
alias "M.D."
Elle sera la vedette du prochain Mondial de l'auto à Paris, mais la California est aussi un évènement encore plus important que lors de la sortie d'une nouvelle Ferrari.
Tout d'abord, beaucoup attendait la "149", la nouvelle berlinette du cheval cabré. Ensuite, si nouvelle il devait y avoir, on s'attendait également à retrouver une architecture... classique à savoir, moteur arrière. Il n'en est rien et Ferrari prend même tout le monde, client y compris, à contre-pied.
La California est donc le coupé-cabriolet de la marque. Finie la capote et à l'heure du progrès, Ferrari suit le mouvement. Ce qu'elle suit également de par son nom qui nous revient d'un modèle ainsi dénommé et produit de 1957 à 1962. Par contre, la California étonne de par son architecture moteur. Partageant ses gênes mécaniques avec la F430, elle inverse la tendance et renvoie le tout à l'avant. Ainsi la California est équipée du 4,3 litres V8, aussi une première car seul le V12 avait aussi pris place à l'avant, et développe 460 ch. La transmission se fait toujours aux roues arrière via une boîte à double embrayage et 7 rapports.
On en saura de plus en plus d'ici le mois de septembre, mais on peut déjà se dire que la California marque un tournant dans la politique commerciale de Ferrari. La redéfinition technique, moteur avant et boîte à double embrayage, prouve que la nouvelle génération de la marque se voudra plus "people", conventionelle et douce. Certes, il y aura toujours, et heureusment, les modèles exclusifs, mais la marque italienne ne va pas vivre sur ses laurriers. C'est pourquoi le choix d'un toit rigide va dans le même sens.
La California est le messager de Ferrari différentes. En avant toute !
alias "M.D."